exposition
  Serendipity ou la productivité du hasard
 
Du jeudi 13 janvier au samedi 19 février 2005

Avec Sylvie Astié, Laetitia Bénat, Baptiste Debombourg, Céline Cléron, Guillaume Constantin, François-Xavier Courrèges, Thibaut Espiau, Pauline Fondevila et François Olislaeger, Vidya Gastaldon,
Xavier Gautier, Amande In, Rémy Jacquier, Emmanuel Lagarrigue, Pierre Lardeau, Le Gentil Garçon, Arnika Müll, Géraldine Pastor Lloret, Lionel Sabatté, Didier Trénet, Sébastien Värnild.
   
 
   
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  Vernissages le jeudi 13 janvier, 18h à Console et le samedi 15 janvier à la galerie Frédéric Giroux
   
 
14, rue de la Folie Regnault,
75011 Paris code 7014 cloche
M° Charonne ou Philippe-Auguste
33 (0)1 43 56 28 22
Entrée libre mercredi au dimanche de 14h30 à 19h30 et sur rendez-vous

Galerie Frédéric Giroux
8, rue Charlot
75003 Paris M° Saint-Sébatien Froissard
33(0)1 42 71 01 02
www.fredericgiroux.com
Ouverture du mardi au samedi de 11h à 13h
et de 14h30 à 19h
   
  communiqué de presse
   
  Serendipity réunit vingt et un artistes et se déroule simultanément à Console, appartement-lieu d’exposition et à la galerie Frédéric Giroux. Deux lieux, lieu intime / lieu public : une temporalité particulière pour des oeuvres qui se complètent, interfèrent, dialoguent.

Cette exposition vous invite à les approcher et les vivre avec sérendipité, méthode de recherche qui consiste à créer les conditions favorables à l’émergence d’innovations. Ce phénomène est vécu lors d’explorations en bibliothèque, de recherches sur Internet, d’un voyage, d’une déambulation dans une ville : aller quelque part et se retrouver ailleurs,
chercher une chose précise et en trouver une autre, plus précieuse. L’exposition est l’occasion pour les artistes et les visiteurs d’expérimenter cette productivité du hasard, de l’augmenter, la stimuler.

Produites, la plupart, pour l’exposition, les oeuvres plongeront les visiteurs dans un monde propice à la sérendipité. Choisies pour leur prolificité, ligne, trait, cerne, contour, détour, délinéation proliférants, enjambent la feuille, rampent le long des murs, sur le sol et les objets, investissent l’espace : installation complexe ou proche du gribouillis automatique, du tracé sur le sable humide ; certaines flirtent avec l’écriture ou élèvent le motif ornemental au rang de signe ou d’oeuvre. Mouvant, léger, économique, fragile, éphémère, virtuose ou trash, narratif ou conceptuel, le dessin est disséqué, détourné,
mis à bas ou en pièces, étiré jusqu’à l’extrême.
C’est donc à partir de pratiques contemporaines du dessin dans ses différents développements, ses correspondances avec l’installation, la vidéo, le son…. qu’on s’exercera à la sérendipité, le concept du hasard heureux.
   
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